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Un choeur qui chante, principalement, en breton...
ABER AL LIGER !
Le site officiel d'OPUS ATLANTICA

Représentant le 5ème département breton, voici un choeur qui chante, principalement, en breton... ABER AL LIGER !

Pour vous présenter cette prometteuse formation de Loire Atlantique, quoi de mieux que de donner la parole à son chef, Directeur technique et artistique, Guy POULIQUEN et, simultanément, à Jean-François GARDIE, Président d’OPUS ATLANTICA, Chargé de l’organisation et de la programmation des événements, ainsi que de la communication pour cet ensemble vocal.

En préambule à cet entretien, échangé par écrit numérique, nous proposons que nos questions peuvent, au choix de nos interlocuteurs, donner lieu, pour un même sujet, à des réponses à « une seule ou deux voix », en quelque sorte… en solo ou en chœur !

 


L'e-Interview...

- Gérard SIMON, pour Culture et celtie, l’e-MAGazine :
En quelle année, sur quelle idée, par quel déclic, pour quel objectif, par qui ?... comment est né ce chœur qui chante en breton ?

- Jean-François GARDIE, Président administrateur et communicant :
En mai 2015, dans le cadre de la Gouel-Breizh, nous organisions le 50ème anniversaire de la confédération KENDALC’H. A cette occasion, nous recevions, pour un concert à LA BAULE, Les chœurs Gaéliques d’Ecosse. Pour participer à cet événement, nous regroupions, alors, dans un seul chœur les choristes des chorales bretonnes du 44.
Emerge alors l’idée de poursuivre l’expérience, et de créer un ensemble vocal départemental Breton.
L’enthousiasme des choristes contribue à nous nous pousser dans cette voie et le sujet est abordé au cours d’une réunion de la commission chorale de la fédération regroupant les chefs de chœurs et responsables des chœurs. La concrétisation et la mise œuvre du projet se met, alors, en marche...

- Guy POULIQUEN, Chef de Chœur :
Cette première expérience est un véritable challenge : il faut déterminer un répertoire commun aux chorales qui permet d'assurer la moitié d'un concert, mobiliser les bonnes volontés, organiser les quelques répétitions qui viennent, bien sûr, en supplément de l'activité des chorales et ceci pour une seule date de prestation.
Ce concert nous a appris beaucoup de choses : le répertoire commun existe et il est partagé par les chorales bretonnes du département. Les choristes ont, vraiment, plaisir à le chanter. Le public est présent et nous soutient.
Le succès est au rendez-vous et tout le monde s'accorde à dire qu'il faut renouveler l'expérience. C'est ce qui sera fait à 4 occasions : les festivals, Anne de Bretagne 2015, à Saint-Herblain et 2016, à Châteaubriant, le festival Voix en Fêtes 2016, à Pontchâteau et, de nouveau, la Gouel-Breizh 2016, à La Baule.
Au cours de cette période, nous réfléchissons à la façon d'acquérir une existence juridique, à la meilleure manière de nous structurer et d'être reconnus par les fédérations de chorales. Ce sera chose faite pendant l'été 2016 : l'ensemble vocal s'appellera « ABER AL LIGER » , en référence à l'estuaire de la Loire, qui est le trait d'union entre le pays nantais et la presqu'île.

 

- GS : Le chœur ABER AL LIGER est lié à OPUS ATLANTICA, KENDALC’H BRO NAONED, KANOMP BREIZH.
Pouvez-vous nous préciser ce choix et l’utilité de ces trois liens en termes structurels, administratifs, culturels et artistiques, voire de communication ?

- Jean-François GARDIE :
Nos relations avec :
OPUS ATLANTICA (1) : Nous devions trouver un statut à notre chœur.
Nous ne souhaitions pas créer une nouvelle association. Notre objectif étant plus artistique et technique, tout en ayant à l’esprit la défense, la promotion du chant breton et la mise en avant de notre culture, en Loire-Atlantique, 5ème département breton. OPUS ATLANTICA, de part son objet, nous a proposé de nous prendre en son sein et de se charger de la gestion, de l’organisation, la promotion de notre ensemble vocal. OPUS ATLANTICA n’est pas subventionné, nos financements sont privés. Le Crédit Mutuel est notre principal partenaire.

KENDALC’H BRO NAONED (2) : fédération de la confédération, KENDALC’H est à l’origine de notre création. Sur les 5 départements bretons seule la Loire-Atlantique regroupe les chorales. Par conviction, par solidarité, OPUS ATLANTICA est adhérent de cette dernière.

KANOMP BREIZH (3) : Fédération des chorales Bretonnes regroupant les chœurs des 5 départements. Cette fédération nous apporte soutien, formation, et organise les concours dans différentes catégories ainsi que le BREIZ A GAN.
Il dispose d’une partothèque où nous puiserons la matière première pour notre futur projet.



© Photo Dominique ROBERT - Aber al Liger

© Photo Dominique ROBERT - Aber al Liger

GS : Provenant, le plus souvent, de différentes chorales du bassin nantais et de la presqu'île guérandaise, ce chœur mixte compte, actuellement, plus d’une soixantaine de membres et vous envisagez de continuer à recruter de nouveaux choristes.
Selon quels critères de sexe, d’âge, de tessiture, d’expérience dans le chant, portez-vous vos priorités ?
Avez-vous, déjà, en tête, l’idée de la pérennisation du projet en créant, à l’image des bagadoù - bagadig, une relève, une « équipe seconde » de plus jeunes chanteurs ?

- Jean-François GARDIE :
A ce jour, le chœur rassemble 80 choristes et les demandes d’adhésion nous parviennent, encore. D’ici quelques mois, nous atteindrons 90 à 95 choristes issus de La Loire Atlantique.
Comme pour toute organisation dans le domaine culturel Breton et, particulièrement, pour ce qui concerne le chant à 4 pupitres, la difficulté d’attirer les jeunes est réelle. Nous réfléchissons à la manière, aux moyens à mettre en œuvre pour les inciter à nous rejoindre.
Il en est de même pour les chefs de chœur et de pupitre.
Nous devons, me semble t’il, moderniser notre répertoire, trouver d’autres harmonisations, en respectant l’esprit des pièces.
Le chœur doit s’ouvrir aussi à d’autres langues traditionnelles, comme, par exemple, le Gaélique.
Attirer les jeunes à nous, doit être un chantier prioritaire. Nous appelons toutes personnes ou organismes à nous rejoindre dans une réflexion sur cet enjeu.

- Guy POULIQUEN :
Le chœur est accessible à toute personne aimant chanter et ouverte au répertoire breton, et ceci sans distinction. L'appartenance, au préalable, à une chorale bretonne n'est nullement un prérequis. Il s'agit d'une démarche personnelle de chaque choriste envers l'ensemble ABER AL LIGER.
Bien évidemment, et c'est un problème vécu par toutes les chorales, nous manquons d'hommes, particulièrement de ténors, pour réaliser l'équilibre avec les pupitres de femmes.
Bien que nous comptons beaucoup de choristes d'expérience, nous sommes encore un jeune ensemble, notre avenir n'est pas encore tracé. Bien sûr, nous devons séduire et convaincre les jeunes générations que notre démarche est, tout à fait, d'actualité et porteuse d'espoir pour la langue bretonne.

 

GS : En matière de choix artistiques, au-delà du fait que le chœur chante, prioritairement, en Breton quelles sont les options musicales et vocales que vous prenez, déjà, et souhaitez envisager pour constituer et élargir un solide répertoire bien spécifique pour cette distincte formation ?
En terme de terroirs, voire de pays celtiques, de styles musicaux, de « racines et d’ailes », quels sont vos ambitions, vos espérances, vos projets pour, peut-être, vous différencier ou compléter l’offre artistique des chœurs nantais ANNA VREIZH et KAN ar VRO ?

- Guy POULIQUEN :
Nous chantons a cappella et à 4 voix des pièces, exclusivement en langue bretonne. Mais ceci n'est qu'un point de départ. Nous pourrions, à l'occasion, faire appel à des musiciens pour nous accompagner. Cela s’est déjà produit, et, pourquoi pas, nous exprimer dans une autre langue, en gaélique, par exemple.
ABER AL LIGER est notre « fond de commerce » et reste la base de notre aventure. Si son répertoire de départ est directement construit sur les valeurs sures du répertoire choral breton, nous envisageons de l'étoffer avec des pièces existantes voire, à moyen terme, avec une pièce importante déjà chantée ou à écrire, une cantate, par exemple.
Musicalement, je souhaite que notre ensemble soit, également, le creuset de créations musicales et d'initiatives à géométrie variable : pourquoi pas une soliste accompagnée ? Ou un petit groupe d'hommes ? Sur des pièces nouvellement écrites ? J'en profite pour faire appel aux bonnes volontés : chanteurs du chœur, poètes en langue bretonne, harmonisateurs, arrangeurs... Notre travail doit être collectif ; après, ce n'est plus qu'une affaire d'assemblage !
Je voudrais insister sur le point suivant : chaque chorale a sa personnalité, son répertoire, son histoire, son originalité. ABER AL LIGER n'a aucune volonté d'hégémonie. Nous souhaitons travailler en partenariat et avoir le plaisir de nous retrouver au moment des concerts, en toute amitié.



© D'après vidéo de Dominique ROBERT - Aber al Liger

© D'après vidéo de Dominique ROBERT - Aber al Liger

GS : Quel est le rythme de vos répétitions, leur durée, où se déroulent-elles, quel est le « plan de travail » suivi lors d’une séance destinée à peaufiner anciens et nouveaux morceaux. Y-a t’il un travail vocal par « pupitres et sous-pupitres » où s’agit-il de répétions générales ?

- Guy POULIQUEN :
Pour cette saison 2016-2017, nous nous retrouvons une fois par mois, en général le 2ème jeudi de chaque mois sauf exceptions, alternativement, près de Nantes, au Centre Culturel Breton « Yezhou ha Sevenadur », à Saint-Herblain et dans une église de La Baule afin de ne pas pénaliser systématiquement un côté de l'estuaire.

Les répétitions se déroulent de 20h à 22h 30 et commencent par un échauffement de la voix. S'en suivent deux périodes de travail d'une heure séparées par une pause d'un quart d'heure, moment privilégié pour partager les consignes. Les choristes ont à leur disposition le répertoire : partitions imprimables en 2 ou 4 portées, fichiers son, par voix et paroles, ainsi que le plan de travail sur Internet.

Nos répétitions sont consacrées à l'apprentissage de pièces, pupitre par pupitre, avec mise en ensemble, à 4 voix. La répétition qui précède un concert est, quant à elle, consacrée à la mise en scène du chœur (positionnement, déplacements…) et au filage du concert.

Je communique directement avec les choristes par mail pour rappeler les consignes d'organisation (lieux, horaires…) Un principe de parrainage a été mis en place pour ceux qui ne disposent pas d'Internet.

 

GS : Qui choisit les pièces à inclure dans le nouveau répertoire ? Combien de morceaux figurent, actuellement, au « catalogue » d' ABER AL LIGER ?
Combien de titres, sont, en général, interprétés lors d’un concert ?
Lorsque vous êtes seuls à l’affiche, privilégiez-vous un concert en une ou deux parties et pourquoi ?

- Guy POULIQUEN :
La dizaine de pièces qui figure au répertoire s'est imposée à nous. Ce sont des standards comme « Broiou ar Mor », « Bro goz va zadou », « Tridal a ra va halon », « Kenavo »...
Pour l'instant, nous n'avons jamais chanté seuls. Nous pouvons assurer une partie de concert (7 à 8 pièces), plus les chants communs traditionnellement interprétés, en fin de concert, avec l'ensemble des choristes présents, toutes chorales confondues.
Comme dit précédemment, notre répertoire s'étoffera dans les années qui viennent. Nous pourrons alors assurer tout un concert, seuls.
Le choix des nouvelles pièces sera déterminé sur proposition des choristes, à discuter lors des répétitions, avec mon regard sur les aspects de faisabilité technique : intérêt, présence obligée de musiciens, difficulté de mise en œuvre.



© D'après vidéo de Dominique ROBERT - Aber al Liger

© D'après vidéo de Dominique ROBERT - Aber al Liger

GS : L'ensemble ABER AL LIGER, « Estuaire de la Loire », en breton, a pour objectif de promouvoir le chant en langue bretonne et de représenter le 5e département breton, qui est, aussi, pays gallo !
Au-delà d’une mise en lumière de la situation géo-linguistique spécifique de la presqu'île guérandaise, de l’héritage de la langue bretonne pratiquée du 6ème au milieu du 20ème siècle, entre Loire et Vilaine, de l’usage du Breton en tant qu’élément de civilisation, facilitant, notamment, dans le passé, les échanges commerciaux avec les autres départements de langue bretonne, y-a t’il une démarche culturo-politique, plus actuelle, dans ce choix prioritaire d’expression linguistique ?

- Guy POULIQUEN :
Démarche politique pour l'ensemble, certes non, ce n'est pas notre volonté. Démarche culturelle, oui, bien évidemment, quand on regarde les arguments que vous mettez en avant.
Mais je veux être simplement plus pragmatique : force est de constater que des personnes d'origine bretonne veulent chanter la Bretagne en reprenant les paroles et les accents que leurs parents leur ont appris. Force est aussi de constater que des personnes qui ne sont pas d'origine bretonne sont séduites par les thèmes musicaux et la poésie qui s'en dégage.
La formule « chant choral à 4 voix » qui est pratiquée, assidûment, depuis un siècle et demi, a laissé des traces dans notre mémoire collective. Elle a aussi permis la production de nombreuses compositions dignes d'intérêt.

 

GS : Pour se pérenniser, depuis plus de trente ans, avec, parfois, plus ou moins de bonheur, mais, aussi, avec de très grandes réussites, la musique bretonne « se métisse », se « rocke », « se jazze », « se bluese », se
« symphonise », « s’éléctronise », « se comédimusicalise »… Voyez-vous des perspectives autres pour le « vocal collectif », tel que le propose un chœur évoluant entre tradition, modernité et… prospectif.
Avez-vous des pistes artistiques créatives en la matière ? Lesquelles ?

- Guy POULIQUEN :
Tout le chemin qui est devant nous n'est pas encore balisé. Il faut certes s'ouvrir à d'autres tendances, mais surtout sans perdre son âme. A mon modeste niveau, je propose quelques créations et réharmonisations de chants dont le but est de renouveler l'intérêt des chanteurs et auditeurs.

Je crois beaucoup à l'apport des rencontres et du partage. Cela crée des opportunités à saisir.



© D'après vidéo de Dominique ROBERT - Aber al Liger

© D'après vidéo de Dominique ROBERT - Aber al Liger

GS : En ce qui concerne le calendrier à venir, notamment, pour les grands rendez-vous d’été, quels sont vos perspectives de concert ?
Avez-vous des projets, hors Loire Atlantique ?
Quels sont les cadres, les lieux, les contextes de concerts que vous souhaiteriez, à l’avenir, privilégier ?

- Jean-François GARDIE :
Il est bien évident que nous devons avancer par le partage et l’échange vers d’autres cultures régionales ou étrangères.
Nous avons des opportunités pour le second trimestre 2017. Mais attendons de pouvoir les concrétiser pour en faire part.
Mais l’objectif de se produire partout en France et à l’étranger nous demande de nous stabiliser, d’avoir notre propre répertoire et, en la matière, le rôle de notre chef de chœur est d’une importance primordiale. Je suis convaincu que nous avons fait le bon choix avec Guy POULIQUEN !
Nous devons avancer, oui mais de façon réfléchie et en adéquation avec nos moyens. Surtout ne brûlons les étapes.
OPUS ATLANTICA chargé de la promotion et de la programmation est en recherche de concerts, mais comme la majorité des choristes ont une appartenance à d’autres chorales nous devons définir les dates et les possibilités de concerts en concertation avec celles-ci.

- Guy POULIQUEN :
Pour le calendrier, jusqu'à fin juin :
19 mars : Concert de création d'ABER AL LIGER, avec le choeur d'hommes de Bretagne, à Notre-Dame de Bon Port, à Nantes.
20 mai : Concert de la Gouel Breizh avec les chorales bretonnes du département , à La Baule
10-11 juin : Festival Anne de Bretagne avec les chorales bretonnes du département, à Saint Herblain.

 

GS : Pour la dernière « plage » de cet entretien, nous aimons laisser libre parole à nos interlocuteurs. Que souhaitez-vous ajouter à nos propos échangés pour présenter, mieux, encore, à nos très nombreux visiteurs de Bretagne et d’ailleurs, ce beau projet ABER AL LIGER.

- Jean-François GARDIE :
OPUS ATLANTICA a, pour « ABER AL LIGER », beaucoup d’ambitions ! Mais, avant tout, le plaisir de chanter ensemble, doit-nous guider.
Nous avons devant nous un formidable projet et, pour le mener à bien, il nous faut la participation des choristes, de partenaires, encore à trouver sur le plan financier, artistique.
Nous étudions la possibilité de lancer une souscription, afin d’assurer l’avenir.
L’avenir passera, obligatoirement, par notre capacité à attirer la jeunesse et par une recherche de l’innovation artistique et musicale.

- Guy POULIQUEN :
Nous vivons une belle aventure. Elle est proposée à tous ceux qui aiment chanter la Bretagne et les pays celtes, en breton. Il ne tient qu'à vous de nous rejoindre.

De tout cœur, Culture et celtie, l’e-MAGazine remercie, très chaleureusement, Messieurs Guy POULIQUEN et Jean-François GARDIE pour le temps qu’ils nous ont consacré en répondant, si largement et qualitativement, à nos questions.
Bon vent à ABER AL LIGER !
Gérard SIMON

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(1) - OPUS ATLANTICA : www.opus-atlantica.com
(2) - KENDALC’H BRO NAONED : www.kendalch.com/confederation2/les-federations/kendalc-h-44
(3) - KANOMP BREIZH : www.kanompbreizh.org/index.php?vrs=Tunnel



© D'après vidéo de Dominique ROBERT - Aber al Liger

© Photo Dominique ROBERT - Aber al Liger

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Nous vous proposons d'écouter un medley de 3 extraits des chants du Cheour Aber al Liger :
« Trital-a-ra-va-halon », « Le moulin de Guérande » et « Distro-ar-gested ». (05:09)                                         >>
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ABER AL LIGER recherche :
- Des personnes souhaitant chanter la Bretagne, en chorale, en breton, lors de festivités celtiques ou bretonnes. Tous pupitres : sopranes, alti, ténors et basses.
- Des chefs de pupitres, pour assister le chef de chœur et encadrer, techniquement,nos choristes.
- Des musiciens
Bienvenue aux jeunes !

Contacts et Renseignements :
Jean-François GARDIE
gardiejf@hotmail.fr
09 66 13 07 15 et 06 17 18 39 58
Guy POULIQUEN, Chef de choeur
pouliquen@aol.com


© Culture et Celtie

Illustration sonore de la page : Choeur Aber al Liger "Digirit ho kalon" - Extrait de 01:13.
Site Internet d'OPUS ATANTICA : www.opus-atlantica.com

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