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Matthieu JUBIN - "En pays breton" La Page de Matthieu JUBIN sur le site HDLG

Issu d'une famille originaire de Vitré, né dans le Calvados, à Courseulles-sur-Mer, René-Emmanuel BÂTON, dit Rhené BÂTON (1879-1940), fut un compositeur et chef d'orchestre qui a dirigé les meilleurs orchestres européens.
Ses œuvres, qu'il interprète peu, s’inscrivent dans un style classique, pour l'époque. Il met en musique de grand poètes bretons, tels Auguste BRIZEUX ou Louis TIERCELIN.
Sa fibre l'amène à nouer des relations amicales avec d'autres compositeurs, parmi lesquels, Jean CRAS, Paul LE FLEM ou Paul LADMIRAULT.

Né à Nantes, Louis VUILLERMIN (1879-1929) fut, lui aussi, compositeur, chef d'orchestre, mais, également, musicologue et, à ce titre, particulièrement célèbre pour ses ouvrages sur la musique française du début du XXème siècle. Inspiré tout autant par les grands noms de la musique française que par sa Bretagne natale.
En 1912, il fondera, avec ses amis, Guy ROPARTZ, Paul LADMIRAULT et Maurice DUHAMEL, l’Association des compositeurs bretons, à Paris. Fait rare pour l'époque, il attribue à quelques-unes de ses pièces des titres, en langue bretonne !


Né, lui aussi, à Nantes, Paul LADMIRAULT (1877-1944), brillant élève de Gabriel FAURE, est un compositeur qui souhaitait, très activement, contribuer à promouvoir la culture celte.
Parlant le breton, militant revendiquant l'autonomie culturelle de la Bretagne, il prend part à des groupements culturels et artistiques de sa Bretagne natale.

Brestois, Jean CRAS (1879-1932) fut un officier de marine et… compositeur.
Professeur à l'École navale, il met au point une règle qui porte toujours son nom : la « Règle CRAS » qui permet au navigateur de tracer la route ou de porter un point sur une carte marine; il conçoit, aussi, un appareil de transmission par signaux électriques.
Le capitaine de vaisseau CRAS commandera, notamment, le cuirassé Provence. Promu Contre-Amiral en 1931, il achève sa carrière militaire au poste de Major Général du port de Brest.
Parvenant à concilier sa carrière maritime et sa passion musicale, Jean CRAS a pu, tout au long de son existence, composer de nombreuses pièces. Abordant tous les styles, il puise son inspiration au cœur de ses voyages et mélange les parfums d'ailleurs qui parfois sonnent comme des airs bretons.
Une World music, avant l’heure !

Né à Saint-Malo, précisément, à Paramé, de parents armateurs, lui aussi, élève de Gabriel FAURE, Louis AUBERT (1877-1968) fut un critique musical et excellent pianiste, notamment choisi par Maurice RAVEL pour la création de ses « Valses nobles et sentimentales », écrites en 1911.
Ce Breton, qui adopta le Pays basque, a, en fait, été très peu été inspiré par la Bretagne, à l'exception notable d'un « Tombeau de Chateaubriand », poème symphonique pour orchestre, composé à l'occasion de la commémoration du centenaire de la mort de l'écrivain, en 1948.

C’est dans le Trégor, à Guingamp, à l’époque Côtes du Nord, que voit le jour Joseph Guy-Marie ROPARTZ, dit Guy ROPARTZ (1864-1955) qui, autant poète que musicien, nous a laissé une importante œuvre pour piano.
Il suit la même voie que son père, Sigismond ROPARTZ, avocat à Guingamp, en étudiant d'abord, le droit à Rennes. Mais, en parallèle à ses études au barreau de Paris, en 1885, il entre au Conservatoire de Paris dans la classe de composition de Clément François Théodore DUBOIS, organiste, pédagogue et compositeur.
Celtique dans l'âme, Guy ROPARTZ était bien le fils de ce pays « où les korrigans peuplent la lande et dansent, par les nuits lunaires autour des menhirs où les fées et les enchanteurs, Viviane et Merlin ont pour domaine la forêt de Brocéliande, où les âmes des morts restés sans sépulture apparaissent toutes blanches au-dessus des flots de la baie des Trépassés ». Ces mots poétiques empruntés à l'auteur lui-même, pour définir sa Bretagne natale définissent aussi parfaitement ses œuvres, dont l'une a précisément pour titre « Le Pays ».

Natif d’un petit village d’Ille et vilaine, La Fontenelle, situé à 35 kms au nord-ouest de Fougères, Jean LANGLAIS (1907-1991) a été organiste, improvisateur, pédagogue et compositeur.
Aveugle dès l'âge de deux ans, il fait des études à l'Institut National des Jeunes Aveugles de Paris. Il y apprend le violon, le piano, l'écriture et l'orgue avec André MARCHAL. Admis en 1927, dans la classe d'orgue de Marcel DUPRE au Conservatoire de Musique et de Déclamation, Il y reçoit, en 1930, le premier prix d'orgue, puis il se perfectionne dans l'art de l'improvisation grégorienne avec Charles TOURNEMIRE et suit les cours de composition de Paul DUKAS, au Conservatoire, devenu Conservatoire National de Musique et d'Art dramatique.
En 1931, il remporte le Grand Prix d'Exécution et d’Improvisation des Amis de l’Orgue.
Jean LANGLAIS s'inspire souvent du légendaire celtique, des cantiques bretons et de la musique bretonne. Il compose des chansons populaires de Haute-Bretagne et il puise dans le fond breton pour ses œuvres, « La Ville d'Ys », « Complainte de Pontkalleg », « Noël breton » et « Suite armoricaine ».

Orphelin de père et mère, à douze ans, Marie Paul Achille Auguste LE FLEM, dit Paul Le FLEM (1881-1984) composteur qui vécut sa jeunesse dans le Trégor, puis à Brest, a engendré une œuvre pour piano qui date, pour l’essentiel, d'avant la première guerre mondiale, restant, donc, marquée par l’influence de DEBUSSY et de l’impressionnisme.
Ses compositions vont du genre symphonique (quatre symphonies) à la sonate, en passant par la musique de chambre et les œuvres lyriques. Issu d'un milieu bretonnant, attaché à la Bretagne, il s'inspire de la langue, des paysages, des légendes et de la tradition armoricaine.

Né à Saint-Brieuc, dans une famille d’organistes de père en fils, Charles-Augustin COLLIN (1865-1988) consacra sa vie à son instrument de prédilection, l’orgue, laissant, néanmoins, quelques partitions pour piano.
Comme compositeur il est l'auteur de très nombreuses pièces pour orgue et harmonium, dont « Chants de la Bretagne - Gwerziou Breiz-Izel ».
On lui doit, également, des pièces vocales religieuses, motets, messes et cantates, dont une « Cantate à Jeanne d'Arc »et un « Miracle de Saint-Melaine », écrit pour sa paroisse.

Vous nous pardonnerez, certainement, cette longue énumération introductive, mais nous souhaitions mettre en exergue, certes que bien trop partiellement, les itinéraires artistiques de ces neuf compositeurs bretons du début XXème que le pianiste Matthieu JUBIN met, judicieusement, originalement, merveilleusement, puissamment ou sensiblement, en lumière sur cet exceptionnel opus, titré, en référence à la composition de Charles-Augustin COLLIN… « En pays breton ».

Quelle formidable idée, à l’initiative de ce remarquable et remarqué concertiste !
Comme l’écrit, en préface du livret joint au disque, Didier SQUIBAN qui, suite à une fructueuse rencontre avec Matthieu, par la voie de son label « Hôtel De La Grève - HDLG », a décidé de produire ce fort séduisant et esthétique enregistrement, Matthieu JUBIN « nous fait redécouvrir certaines œuvres de compositeurs bretons du début XXème siècle, souvent méconnus… voire pire ! ».

Et, encore, envisageant l’ombre de la méconnaissance, l’indulgent créateur de la récente « Symphonie du Ponant » (Notre chronique), utilise, dans son texte introductif, le verbe « redécouvrir », qui convient à ses tellement vastes connaissances.
De notre côté, nous avons l’humilité de vous confier, chers visiteurs et lecteurs, que, pour nous, il s’agit, du moins pour plusieurs des compositeurs, ci-dessus, énumérés, d’une prime découverte, tant de leurs noms que de leurs œuvres… et comme Didier conclut : « C’est un régal » !

A la lecture de nos sincères aveux, Matthieu JUBIN sera sûrement ravi, puisque son acte artistique et culturel est de nous, vous remémorer ou faire connaître ces compositeurs bretons aux parcours, ô combien, substantiels et aux œuvres, parfois baignées de celtique, souvent de traditionnels… toujours, de Bretagne !

Comme le précise le livret, vous écouterez « 20 œuvres composées entre 1900 et 1938, issues de neuf compositeurs différents, constituant ce florilège du piano classique breton, dont les sources d’inspiration sont aussi variées (la mer, les danses, les paysages ou la vie quotidienne) que le style et la personnalité de leurs auteurs, dont la plupart furent des musiciens reconnus et admirés à leur époque ».

C’est, pendant presque une heure, une intime et poétique rencontre avec les paysages armoricains qui vous est proposée par l’expressif et charnel jeu de Matthieu JUBIN, sublimé par les exquises sonorités du piano Blüthner (1905) de Didier SQUIBAN que l’iconique compositeur breton a mis à disposition de l’artiste pour cet enregistrement chaleureusement réalisé, en juillet 2023, par Ludovic MESNIL, au studio « Hôtel De La Grève » de Plougastel-Daoulas, en Finistère.


Matthieu JUBIN © Photo X

Si nous avons évoqué, assez largement, les compositeurs qui ensemencent ce beau jardin de notes, il est grand temps de vous présenter le pianiste qui le fait fleurir, épanouir, briller au soleil de son inspiré et inspirant talent.

Né en 1976 à Hennebont, dans le Morbihan, Matthieu JUBIN a découvert le piano en autodidacte à l’adolescence, avant d’intégrer le conservatoire de Rennes à 19 ans, d’où il sort, quelques années plus tard, avec une solide formation de musicien et un premier prix de piano.

Actuellement professeur de Lettres au Lycée hôtelier de Dinard, il a toujours mené, en parallèle, une activité de soliste et de chambriste en amateur, centrée sur le répertoire classique et romantique. il s’est aussi distingué lors de concours internationaux de piano (Paris en 2005, Concours International des Pianistes Amateurs à Dinard, en 2022, où son interprétation d’une œuvre de Jean CROS, « Danza animata », lui vaut le Prix du public).


En 2020, il commence à explorer le répertoire oublié pour piano des compositeurs bretons du début du XXème Siècle, et après une phase intense de recherche et de déchiffrage de partitions souvent rares voire introuvables, un programme de récital rassemblant les plus beaux chefs d’œuvre prend forme, préfigurant la publication de cet inédit Compact-Disc.

Dès les toutes premières et profondes notes du « Crépuscule d’été sur le grand bassin de Saint-Nazaire », de Rhené BÂTON, dont le lieu mentionné, compte-tenu de notre propre localisation, nous touche d’autant, nous avons été, immédiatement, séduits, ravis, apaisés, par le jeu puissant, mais nuancé du pianiste qui porte magnifiquement toute la contemplation qui nourrit cette pièce ouvrant la suite du compositeur, écrite en 1909 et titrée « En Bretagne » !
Saint-Nazaire… en Bretagne, une réalité administrative de l’époque, une identité historique, en ces temps, à, impérativement, restituer !

Dans le registre, plus directement, issu du « traditionnel breton à danser », nous avons, bien sûr, été ravis d’entendre, d’écouter, de vivre, du même compositeur, ci-dessus, cité, les énergiques, entêtantes, obsédantes « Danses de la Saint-Jean au pays trécorrois » (de Tréguier et ses immédiats alentours), puis, arrangées à partir d’airs de cornemuse, les « Danses bretonnes n°1 et 2 », écrites en 1927 par Paul LADMIRAULT, celle de Jean LANGLAIS, extraite de sa « Suite armoricaine », écrite en 1938 et évocatrice de la Bretagne, avec son titre et ses sous-titres : « Epitaphe pour les marins qui n'ont pas eu de tombe », sinistre, prenante, mélodie figurant, sur ce disque, en piste 15, « Le vieux pêcheur au large », cette présente et sautillante « Danse bretonne », « Coquillage solitaire » et « Conciliabule chez les mouettes ».

Nous avons été, particulièrement, captés, en piste 5, par la composition de Louis VUILLEMIN, intitulée « Carillons dans la baie », pièce extraite de sa suite « Soirs armoricains », écrite entre 1913 et 1918, et partition la plus longue de l’album, puisque s’étirant, pour notre plus grand bonheur, sur plus de 7 minutes.
Les notes du livret précisent : « Sous-titré « Rythmes, chants, carillons », ce morceau impressionniste débute dons une atmosphère mystérieuse ou les arpèges de la main gauche évoquent la houle ; puis les bribes d’un chant rappelant la gwerz traditionnelle « Skolvan » se font entendre, suivies de curieux sons de cloches résonnant au milieu du silence avant qu'une danse joyeuse n‘éclate puis s’éteigne brusquement, laissant à nouveau la place aux motifs initiaux. »
Ce morceau met, particulièrement, en lumière le talent technique et interprétatif du pianiste qui, en « pleins et déliés », en puissance et en nuances, en profonds graves et incisifs aigus, nous fait vivre, en plusieurs mouvements, cette « quasi narrative symphonie, entre terre et mer ».

En piste 9, nous avons largement affectionné, avec ses suspens, ses vigueurs et ses fragilités, le mélancolique « Recueillement », de Jean CRAS, quatrième pièce de ses « Poèmes intimes », écrits en 1904.
Quelle belle introspection musicale du compositeur, servie par le plein investissement du concertiste, décidément, dans sa plénitude exécutive et émotionnelle qui semble de l’interprétation, accéder à la création.
Vous ne sortirez pas indemnes de cette viscérale exécution.

Bien évidemment, au fil de cette chronique, nous n’évoquons pas toutes les fort captivantes composantes qui abondent ce plus que riche et inédit programme.
Sachez que toutes nous ont ravis, comme, sans nul doute, elles vous transporteront, et que l’intégralité des pièces aurait mérité, semblable citation.
Mais, tentant d’éluder toute lassitude de lecture, nous ne pourrons, toutefois, taire le dernier titre éponyme de l’album, « En pays breton ».
Cette « improvisation » pour piano, de Charles-Augustin COLLIN, écrite en 1912, en hommage à l’écrivain, poète et dramaturge breton, Louis TIERCELIN, qui, notamment, en 1889, avec Guy ROPARTZ a publié « Le Parnasse breton contemporain », une anthologie de la poésie bretonne de la deuxième moitié du XIXème siècle et a reçu le Prix de poésie de l'Académie française, en 1911.
Avec ses notes aux senteurs armoricaines boisées ou iodées, cette pièce conclut, synthétise, à merveille, en envoi final, l’opus.

Avec ses styles rythmiques et mélodiques différents, sa multiplicité de compositeurs, pas moins de 9, ce disque se révèle, néanmoins, d’une fort agréable homogénéité qui, sans nul doute, résulte de l’enracinement d’un commun, amoureux et péninsulaire propos tenu, de mêmes « Maitres enseignants » suivis, d’amicales et culturelles fréquentations établies entre créateurs, d’identiques ou voisins grands compositeurs inspirateurs musicaux.

In fine, Matthieu JUBIN nous offre un remarquable album concept inédit, où chaque pièce présente un attrait culturel, identitaire et musical particulièrement actuel ; un aspect qui, de surcroît, nous semble corroboré par le contemporain et abstrait graphisme de la jaquette et du livret confié à Gildas JAVA qui capte notre premier regard, par une œuvre picturale conçue dans l’harmonie des teintes du clavier ou du drapeau créé par Morvan MARCHAL… tout en « Gwenn Ha Du » !
En façade de la jaquette et du livret, symétriquement opposés, l’envol stylisé des goélands se conjugue avec, comme sur une carte à gratter, les griffures plâtrées de blanc d’une colérique houle qui vient mourir, aux dos des deux supports sur un plus rectiligne, triangulaire et blanc aplat figurant une grève qui se reflète sur le miroir de l’estran. Sur celle-ci, une petite griffure perpendiculaire, parfaitement contrôlée, suggère une féminine silhouette qui vient rencontrer la mer.
Comme musicalement, émane, cette fois, de l’objet, beaucoup de poésie.

Nous vous conseillons, plus que vivement, ce superbe album « En pays breton », imaginé, conçu, signé par Matthieu JUBIN.

Comme le précise COOP BREIZH, distributeur de cet excelllent Compact-Disc, « Ce programme inédit a nécessité un travail de recherche car il réunit des morceaux méconnus voire inédits, de style varié : rythmes de danses, évocation de paysages ou de scènes de la vie quotidienne toutes inspirées par la Bretagne. Il met ainsi en valeur le patrimoine musical classique breton et le talent d’illustres compositeurs à redécouvrir ».
A l'écoute attentive et réitérée de ces « plages choisies », vous serez transportés par l’étendue des sonorités et des jeux du piano qui semblent illustrer, aussi bien la profondeur des campagnes et des forêts de l’Argoat que la limpidité ou la furie des eaux salées d’Armor.

Merci Monsieur SQUIBAN. Par l’étendue des couleurs de votre culturelle et musicale palette qui porte, principalement, celles de la Bretagne que vous chérissez et honorez depuis tant d’années, par votre label et cette nouvelle caution éclairée, vous nous permettez de découvrir Matthieu JUBIN qui, sur la toile de ce disque, se révèle être, associant les teintes de neuf créateurs, un fort attachant et sensible peintre musical de notre belle péninsule qui regarde la mer…

Gérard SIMON


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Nous vous proposons d'écouter un medley de 3 extraits de l'album :
« Carillons dans la baie », de Louis VUILLEMAIN, « 3e nocturne », de Guy ROPARTZ et « En pays breton », de Charles-Augustin COLLIN - (07:25).
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Les titres du CD de Matthieu JUBIN - "En pays breton" :

. Rhené BÂTON :
01 - Crépuscule d'été sur le grand bassin de Saint-Nazaire - 02:30.
02 - Fileuses prés de Carantec - 03:12.
03 - La procession sort de l'égLise - 02:52.
04 - Danses de la Saint-Jean au pays Trécorrois - 02:56.

. Louis VUILLEMIN :
05 - Carillons dans la baie - 07:43.

. Paul LADMIRAULT :
06 - Danse bretonne n°1 - 01:48.
07 - Danse bretonne n°2 - 02:36.
08 - Valse fantasque - 02:59.

. Jean CRAS :
09 - Recueillememt - 05:53.

. Louis AUBERT:
10 - Chanson de mer - 01:58.

. Guy ROPARTZ :
11 - 3e nocturne - 04:01.
12 - Un oiseau sur le sable de l'allée - 02:06.
13 - Les vieux souvenirs surgissent de l'ombre - 03:24.

;Jean LANGLAIS :
14 - Danse bretonne - 01:24
15 - Epitaphe pour les marins qui n'ont pas eu de tombe - 02:50.

. Paul LE FLEM :
16 - Ronde - 01:04.
1? - La chapelle - 01:19.
18 - Bigoudens - 01:05.
19 - Par landes - 04:42.

. Charles-Augustin COLLIN :
20 - En pays breton - 02:33.

Durée totale : 58:55.


Matthieu JUBIN - "En pays breton".
Parution : mars 2024.
Production : Didier SQUIBAN - Hôtel De la Grève (HDLG).
Distribution : Coop Breizh.
Réf : 4016519.

© Culture et Celtie

Illustration sonore de la page : Matthieu JUBIN - "Danse bretonne n°2" de Paul LADMIRAULT - Extrait de 00:58.
La Page de Matthieu JUBIN sur le site HDLG : ICI

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