Entre Brassens et… le punk !… en passant par le reggae « bluesy » …
Des chansons à texte, un piano « bastringue »… c’est l’univers artistique détonnant d’Holy Mushroom.
Sur scène, c’est même, parfois, « rock », mais, aussi, « émotion inspirée », émanant tout droit de la grande chanson française à texte, avec des profondeurs d’âme qui ont « du Piaf !… »
HOLY MUSHROOM est un musicien libre, parce que c’est un esprit libre, qui projette dans le public, sans démagogie, des textes sans concession, avec audace, mordant et sincérité ! Ce guérandais « pratique le métier, à la dure ». Il s’est lancé sur les routes avec son camion et son piano droit qu'il descend, au gré des villes et des trottoirs les plus accueillants. C’est à l’école des chanteurs de rue qu’Holy a fait ses premières armes artistiques.

HOLY MUSHROOM, c'est bien la rencontre improbable d'un piano « fou » et d'un chanteur corrosif. C’est à voir ou à revoir, vous qui recherchez une couleur très personnelle, ou vous qui l’avez peut-être, déjà, croisé et apprécié sur les places, dans les bars ou sur les scènes de la région et, notamment, en mars 2007, lors de la  grande finale des Tremplins « plus de Zic », à Savenay ; mais, pour tous, c’est à entendre et même… à écouter…

En savoir plus, sur Holy Mushroom : www.myspace.com/holymushrooms

Dimanche 20 juillet - 12 h 30 - scène du "Village"

Bonne humeur, sens du partage et, surtout, spontanéité…
Voilà ce qui caractérise, principalement, ce groupe vocal et musical ancré en presqu’île guérandaise.
Chez ces 7 jeunes musiciens et/ou chanteurs, tout se construit, à vaux l’eau, sans calcul, sans stratégie, mais, finalement, en intégrant une certaine structure scénique naturelle qui se précise au cours du temps, puisque naissant d’une profonde amitié et d’une authentique complicité, à chaque fois, parfaitement ressenties par le public.
Oasis, Jean-Louis Aubert, Edith Piaf, Claude Nougaro, Bob Marley, Alain Souchon, Emilie Loiseau, les Négresses vertes et… des gospels, sont, notamment, au programme, souvent improvisé, de leurs prestations qu’ils nous « donnent » avec grande générosité et, habituellement, sur les trottoirs et dans les cafés des villes et villages du Pays Blanc.

Ce midi, les « Pigeons qui roucoulent » sont sur la scène des Nuits Salines et vont tenir « note haute » aux cris d’autres oiseaux… gare, en effet, aux goélands qui s’aventureraient à tenter de couvrir, de leurs cris stridents, les voix bien « réglées » de la formation…
« Les pigeons qui roucoulent » : leur nom est venu d’une comptine que l’un d’entre eux, chantait, quasi-continuellement, lors d’un voyage en Italie initié par la chorale, à laquelle, chaque membre donnait le meilleur de son organe.
C’est au retour de ce séjour au pays de Rossini, que la très sympathique bande a décidé de prolonger ce plaisir collectif en continuant à chanter et à jouer de la musique, ensemble, pour ne pas se perdre de vue et de voix…
De là, une idée a vu le jour : pourquoi, ne pas chanter dans la rue, puis dans les cafés ?…
Le succès rencontré, qui a, en premier, surpris les « saltimbanques  de la chanson », a, spontanément, nous vous le disions en introduction, déclenché l’envie de former un groupe.

Marine Andrieux, à l’accordéon et à la guitare, Benjamin Goudedranche, aux guitare, clarinette, low whistle, Gaël Rénaud, au derbouka, voire à l’arrosoir !…. Emmanuelle Don, Léa Tusseau, Samuel Soulier, au chant, expression artistique majeure partagée par tous les membres du groupe, formation chorale oblige, voilà pour les présentations.

Au-delà des « reprises » qui font leur succès actuel, les « Pigeons qui roucoulent » envisagent, petit à petit, de chanter leurs propres compositions, grâce, notamment, à Marine qui se positionne, plus spécifiquement, en auteur. Elle a, déjà, pour elle-même, écrit des textes. Une première composition devrait, musicalement, panacher plusieurs styles représentant, plus particulièrement, les inspirations et les goûts de chacun. Rap, reggae, celtique, devraient imprégner chaque couplet, individuellement, interprété, avant le refrain collectif.

Chapeau à ces « pigeons » qui colportent une belle image fraîche et joliment chantante d’une jeunesse dont on ne parle pas assez…
A propos de chapeau, c’est, visiblement, l’accessoire de ralliement, puisque, tous en portent… donnant un air espiègle ou excessivement charmeur aux filles, et viril aux gars… ou, encore, « à la Trenet » pour le grand Samuel qui dialogue, tout au long du concert, avec le public, en ponctuant, souvent, ses discours de rafales de « ok », tellement… spontanés !… on revient, toujours, à cette notion.
Ne ratez pas ce concert qui se déguste comme une menthe à l’eau ou un « petit jaune », bien frais car il est midi au clocher de Saint Guénolé…

En savoir plus, sur le blog des Pigeons qui roucoulent : lespigeonsquiroucoulent.skyrock.com

Dimanceh 20 juillet - 12 h 00 - scène du "Village" et 19 h 30 - place du Garnal

Nuits Salines 2006… 2007… 2008… « encore, le DUO STETRICE !… » pourrait-on dire ?…
De nôtre côté, nous dirons, 2006… 2007… 2008… 2009… 2050 !… oui, au DUO STETRICE !

Pourquoi cet enthousiasme, ce coup de cœur, pour ce groupe, plus que local ?
Parce que, tout simplement, ils sont bons... très bons !

Stéphanie à la basse, La Belette, à la guitare, les deux au chant, c’est une horloge vocale et musicale parfaitement huilée….
Le jeu des guitares est chaud et profond… le son est rond !
C’est, aussi, une autre façon de chanter les chants de marins, chansons de Bretagne et d’Irlande…

pour cet ultime voyage celtique, puisque nos amis clôturent, comme chaque année, le Festival des Nuits Salines…

Tout, chez eux, est chaleureux, leur musique, leurs voix, leurs regards, leurs discours.
Ces deux complices sont très sympathiques, proches, emphatiques, ce qui convient très bien à cette ambiance de « presqu’après fête » où le spleen vous guette, après ces 3 jours de belle et folle fête !….
Ils vous raccompagnent, avec élégance, en vous imprégnant des notes de notre « celtie » que nous aimons tant !

Vous êtes en vacances sur la presqu’île, vous avez, donc, tout le temps : le festival ne se finit pas en fin d’après midi du dimanche. Venez embarquer sur le galion « DUO STETRICE ».
Vous regagnez votre région, différez de deux heures votre retour pour emporter avec vous ces airs enracinés que vous reprendrez, instinctivement, au volant et qui vous feront un retour plus serein.
De plus, vous pouvez vous sustenter sur place, grâce au café « la Sallanche »….

Nos photos et articles précédents sur le Duo Stétrice :
Nuits Salines 2006 - Nuits Salines 2007 (avec court extrait sonore, en "fond de page")

En savoir plus, sur le site officiel du Duo Stétrice : www.stetrice.com

Dimanche 20 juillet - 19 h 30 - scène de la rue du Général de Gaulle.

Une fourmilière d’environ 170 bénévoles, se dépense, sans compter, pour vous accueillir du mieux possible, vous servir promptement pendant ces trois jours de fête afin d’en faire, pour vous, des instants inoubliables … et pour eux, des moments de motivation intense, pour recommencer, de plus belle, l’année prochaine.
Ils vous serviront des moules, des frites… même des « moules-frites », des grillades, des sandwiches, des glaces, des boissons, et bien sûr, n’oublions pas, vous êtes en Bretagne sud, du cidre et des crêpes…
Certains d’entre eux, installerons et désinstallerons la logistique, contrôleront les entrées des concerts, assisteront les commerçants du marché du terroir, d’autres « feront de la banque », n’oubliez pas, au pays paludier des Nuits Salines, on paie en sac de sel !… pas en euro !

Pas de pays du sel, sans la visite des marais, en calèche, nous vous en parlions, dès la première ligne de présentation du festival….
Que tous soient chaleureusement remerciés, car sans eux, bien au-delà de la formule consacrée, mais ici c’est vraiment sincère, rien ne serait possible…. Réservez leur votre respect et votre plus beau sourire.

Bon Festival des Nuits Salines 2008… bon vent à la nouvelle équipe des « Nuits » !

En savoir plus, sur le site officiel des Nuits Salines : nuitssalines.free.fr