Le film débute avec le célèbre couple de sonneurs
"biniou-bombarde" qu"Alan formait, dans les années
soixante, avec son ami Youenn Sicard.
Nous le suivons dans l'atelier du luthier néerlandais Léo
Goas, qui a conçu plusieurs de ses harpes
nous assistons
à leur conversation et aux essais d'Alan sur sa harpe bardique
à cordes acier. Doucement, il teste l'instrument
ébauche
un instrumental "Ar Voraerion".
Retour en Bretagne avec deux des surs Goadec, l'entretien a lieu
en langue bretonne
peogwir hep brezhoneg, Breizh ebet !... Mais
n'affolons pas les non bretonnants, il y des sous-titrages en langue
française. Lors de ses sympathiques retrouvailles nous avons
le plaisir d'entendre une interprétation inédite de "Maro
ma mestrez".
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Puis,
cap pour la "Celtie gaélique" : Nous retrouvons notre
barde en grande conversation avec deux musiciens écossais du
groupe "Simple Minds" à propos des peuples Celtes.
Tour à tour, il rencontre les "Chieftains", les "Dubliners",
ce qui donne lieu à des nouveaux échanges musicaux dans
un pub irlandais. Dans ce film, tous les styles sont représentés
car, Alan, en compagnie des membres de
"The Frames DC", nous fait faire un bond bien au-delà
du traditionnel.
Ces rencontres filmées dans des paysages divers, ponctuées
d'extraits de concerts, de commentaires et réflexions personnelles,
sont guidées par l'esprit celte de l'artiste breton, fidèle
à ses racines, bien que tourné vers sa quête de
nouveautés.
Article
Gwerspi.
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