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An Alarc'h et ses versions...

Parmi les grands « standards » du chant breton, il en est un qui, sans doute aucun, traverse parfaitement les générations, puisque sa dernière version vient d’être enregistrée en… mai 2022 et publiée, en mars 2023 !
Fort vigoureusement Interprété, par le collectif B.R.E.T.ON.S. formé à partir des groupes DIGRESK et KERVEGANS, auxquels viennent s’adjoindre, au chant, Gweltaz ADEUX (Ex-E.V.) et, à la cornemuse, Anthony MASSELIN (SOLDAT LOUIS), le traditionnel « An Alarc’h », on le constate ainsi, suscite, toujours, quelque soit leur style, un pérenne intérêt pour les différentes générations de musiciens bretons,

De notre côté, nous avions, pour la première fois, découvert cet emblématique titre, en 1972, gravé, en plage 4, face A, du légendaire disque 33 tours microsillon, « Alan STIVELL à l’Olympia », enregistré, en public, le 28 février 1972, avant de pouvoir l’écouter dans toute son ampleur scénique.
Faute de places disponibles, ne pouvant assister à ce concert mémorable, événement musical, culturel et identitaire, retransmis en direct sur Europe1, il nous aura fallu attendre le 9 février 1973, pour, entre autres iconiques morceaux, entendre « en live », à Bobino, ce fameux « An Alarc’h », brillamment chanté, scandé, par un Alan STIVELL, plus que convaincant !
Effectivement, un an après son Olympia, la figure de proue du revival breton mettra littéralement le feu à cette célèbre salle de la rive gauche, située au cœur du quartier breton parisien, pendant trois semaines ! (Du 4 au 24 février 1973), reprenant, chaque soir, un participatif « An Alarc’h » !
En effet, comme une vague frappant le côtier granit, les mêmes clameurs figurant sur l’album précité, émanant d’un public en délire, ponctueront, notamment, un 5ème couplet rajouté au texte traditionnel et originel du Barzaz Breiz(1) que vous retrouverez, par ailleurs, après cet article.


Enor, enor d'ar Gwenn-ha-du !
Enor, enor d'ar Gwenn-ha-du !
Ha d'an dreitourien mallozh ruz !
Honneur, honneur au « blanc-et-noir !
Honneur, honneur au « blanc-et-noir !
Et malheur rouge aux traîtres !

Bien évidemment, le Gwenn-Ha-Du, blanc-et-noir drapeau breton, créé en 1925 par le militant Morvan MARCHAL n’existait pas en 1379, époque où les événements évoqués dans le texte se déroulent.
Par souci global et intransigeant en matière de respect des œuvres enregistrées par les artistes, comme vous le savez, nous ne diffusons jamais, sur nos pages en ligne, l’intégralité des morceaux.
Vous ne pourrez écouter, dans la version « stivellienne », qu’un court extrait d’« An Alarch », dépourvu de ce passage supplémentaire susmentionné.
Nous avons shunté la pièce, après le 4ème couplet, de ce qui représente, certes parfois, avec quelques variations textuelles, toutefois agrémenté du « nouveau » 5ème couplet, la totalité des paroles, communément reprises par les artistes et groupes.

En cette même année… 1972, alternant, pour les couplets, les chants soli de Jean-Louis JOSSIC et Jean-Paul CORBINEAU, TRI YANN choisira d’interpréter, sur son premier disque 33tours, « Tri Yann an Naoned », paru, alors, chez KELENN (Maison d'édition littéraire et musicale bretonne fondée par Alain GUEL, GLENMOR et Xavier GRALL), sans intégrer le couplet additionnel relatif au « Gwen ha Du », les 5 premiers couplets originaux du Barzaz Breiz, concluant le chant par un 6ème couplet puisé en 18ème position du texte original :


Dare' ar foenn : piv a falc'ho ?
Dare' an ed; piv a vedo ?
Le foin est mûr : qui fauchera ?
Le blé est mûr : qui moissonnera ?

Au fil du temps, TRI YANN chantera « An Alarc’h », sous le titre de « Kan An Alarc’h », avec un nombre et ordre de couplets, un peu différents. C’est la première parution que nous avons, ici, privilégiée.
Toujours, en 1972, une nouvelle fois publié par l’éditeur brestois KELENN, traduisant, sur son 1er microsillon 30 cm, « La Blanche Hermine »,son analyse de la Bretagne, historique, religieuse, politique, sociale, Gilles SERVAT, enregistrera sur un tempo plus souple, plus « balancé », dans un périmètre textuel breton qui élude le 3ème couplet du Barzaz Breiz, un « An Alarc’h », interrompu, dès le premier refrain chanté, par un revendicatif, anticlérical et identitaire texte, magnifiquement déclamé, en français, avec une voix de Stentor !

Voici l’intégralité du texte :

Voici la leucémie bretonne
Le père mourant seul au Far West
Le fils « bougnoulisé » banlieue nord-est
Prolo décalqué au carbone
Et les enfants du vin gallique
Qui mordent dans leurs poings d'idiots
Leurs parents nourris d'encycliques
Qui font des crétins en rabiot.

Voici la leucémie bretonne
Donnée par Dieu, Botrel le beau
Chantant son idéal fayot
Avec sa mitrailleuse à boches
Et l'armée bretonne dans la poche
La fleur d'ajonc à la cheville
Accrochée au folklore boulet
Pour nous faire une erzast pensée
Et une culture de pacotille.

Voici la leucémie bretonne
Et le mensonge qui nous assomme
Béatifie nos assassins
Le père Maunoir devenu Saint
Et Du Guesclin notre grand homme
Et notre langue à la poubelle
Ma langue, Maman, pitié pour elle
Chaque mot breton prononcé
Sanglote des Miserere.

Voici la leucémie bretonne
Le désespoir et la tristesse
Quand la nuit éteint la jeunesse
De ce pays qui s'époumone
Le cimetière des innocents
S'étend d'Ancenis à Ouessant.

Et voici la colère bretonne
La colère et l'espoir mêlé
Les charlatans qu'on déboulonne
Voici le matin qui se lève
Voici la liberté qu'on rêve
Voici le jour des poings levés !

Pour les mêmes raisons éditoriales susmentionnées, privilégiant la règle de diffusion de courts extraits sonores respectant les œuvres des artistes, nous avons, en plus de l’extraction des 5 couplets, choisi de ne diffuser en ligne qu’une partie du texte déclamé. Souhaitant une bonne représentativité de la version, c’est donc, un « montage-extrait » que nous vous proposons.

Dès l’orée de notre article, nous vous le disions, depuis des années, ce chant « An Alarc’h » traverse, régulièrement, les différentes lignées de musiciens bretons.

En 1996, le groupe nantais de rock breton E.V. (Étrange Vérité ou Etre-Vroadel), celto-finnois, par sa structure (2 bretons et 2 frères finlandais) et par, d’inspiration celtique, ses textes écrits en breton, en français et en finlandais (ou finnois), enregistre en 9ème piste de son 3ème album « Huchal », un particulièrement rock, « An Alarc’h », en reprenant la structure textuelle « stivellienne », sus-évoquée.
Nous vous proposons à l’écoute, cette version, à partir de son introduction, durant laquelle vous apprécierez, avant la frénésie d’un percutant tempo électrique, sur un rythme plus lent, la voix puissante et quelque peu modulée à l’orientale, du chanteur Gweltaz ADEUX !

Nous voici, à présent, en 1999. Le 15 mars, un gigantesque spectacle, breton, celtique, nommé « BretagneS à Bercy » est donné devant 16 000 spectateurs, dans l’immense et légendaire salle de ce que l’on appelait, alors, « Palais Omnisports de Paris-Bercy », devenu, depuis 2015, Accor-Hotels Arena !!!!!.
Les grands noms de la musique en Bretagne sont présents : Alan STIVELL, Tri YANN, Gilles SERVAT, Dan AR BRAZ et L'Héritage des Celtes, dont le Bagad KEMPER, mais aussi, le groupe de rock lorientais, ARMENS, tous les membres du groupe CAPERCAILLIE, Carlos NUÑEZ, Nicolas QUEMENER, Ronan LE BARS, Robert LE GALL, Ronan MEVEL, Jacques PELLEN… nous ne pouvons, tous les citer, tant ils sont nombreux. Notons, en invités-surprise, le duo Jean-Jacques GOLDMAN-Michael JONES.
En mai 1999, un double Compact-Disc issu de ce spectacle parait.
En 7ème piste du CD N°2, nous retrouvons… « An Alarc’h », entonné et joué par tous les chanteurs et musiciens présents, avec, en premier plan, vocalement menés par Gilles SERVAT, TRI YANN, Alan STIVELL, ARMENS, délicieusement et amplement accompagnés par Dan AR BRAZ et, notamment, de tous les artistes composant L'Héritage des Celtes, Bagad KEMPER, en apothéose !
Nous vous proposons, deux extraits : En ouverture de cette page, pour ceux dont le son est activé, la partie instrumentale finale de cette version, jouée par le Bagad KEMPER, et, en fin d'article, par clic sur le visuel de l’album, les 3 premiers couplets, de la strucutre textuelle « Gilles SERVAT- disque Blanche Hermine - 1972 », choisie, en cette soirée mémorable marquant l’apogée de la « vague celtique », née au début des années 1990.

Nous terminerons, cette sélection d’interprétations, sûrement, non exhaustive, par la version… 2023 d’« An Alarc'h » enregistrée, par le collectif B.R.E.T.O.N.S., en 8éme piste de leur album éponyme (Notre chronique).
Si la structure textuelle, reste, comme son introduction vocale, conforme à celle d’E.V., et pour cause, puisque c’est, à nouveau, Gweltaz ADEUX qui « vocalise », encore plus vélocement et puissamment, qu’en 1996, c’est l’interprétation vocale de Jessica DELOT, chanteuse et violon du groupe nantais et breton KERVEGANS (Notre chronique), composante du collectif B.R.E.T.O.N.S., qui nous interpelle. C’est pourquoi, compte-tenu de la durée, volontairement, limitée de nos extraits diffusés en ligne, éludant l’excellente introduction en solo de Gweltaz, nous commençons « l’échantillon musical » de cette toute récente version, au 2ème couplet, afin de vous faire apprécier ce vigoureux et très intéressant duo masculin-féminin qui donne, une fois, encore, de nouvelles couleurs à cet emblématique morceau.

Voici donc, quelques versions représentatives de cette chanson traditionnelle bretonne, issue du Barzaz Breiz, « An Alarc’h », souvent considérée comme un chant patriotique. A ce titre identitaire, elle figure, chantée et jouée par TRI YANN, en 10ème piste du Compact-Disc, « La Bretagne rebelle », paru chez Coop Breizh, en juin 2014. (Voir CD A RETENIR)

L’écrivain morlaisien, polygraphe et linguiste, spécialiste des littératures celtiques, a prétendu dans sa thèse sur le Barzaz Breiz, que ce chant nationaliste a, en fait, été composé par le Vicomte de LA VILLEMARQUE ; une thèse, elle-même, en grande majorité, invalidée par les travaux du musicologue, ethnologue et linguiste, d'origine brestoise, Donatien LAURENT, à la suite des découvertes d'une partie des cahiers de collectage de LA VILLEMARQUE.

Quoi qu’il en soit, selon Théodore HERSART de LA VILLEMARQUE, « An Alarc'h » raconterait le retour d'exil triomphal du duc JEAN IV, pour reconquérir son duché, après en avoir été chassé six ans auparavant par ses sujets :


Degoue'et an Aotroù Yann en-dro
Digoue'et eo da ziwall e vro
Le seigneur Jean est de retour
Il vient défendre son pays

L’indépendance du duché étant encore plus menacée sans lui, qu'avec lui, les seigneurs bretons avaient envoyé une délégation en Angleterre où il avait trouvé refuge pour lui demander de revenir.
JEAN IV débarque, alors, à Dinard, le 3 août 1379 pour reconquérir le trône de Bretagne.
« An Alarc'h » (« Le cygne » en breton), c'est le cygne qui, dans la chanson, assiste à la scène depuis le sommet de la tour du château d'Arvor.

De notre côté, depuis des années, nous assistons, à la pérennité de cet immortel chant qui traverse le temps et les couleurs musicales de chaque époque en se ravivant, chaque fois, un peu plus. A quand la prochaine version de cet iconique « An Alarc'h » ?

Gérard SIMON


(1) Le Barzaz Breiz, chants populaires de la Bretagne, est un recueil de chants collectés, paroles et musique, dans la partie bretonnante de la Bretagne au XIXème siècle, puis traduits et annotés par le vicomte collecteur, Théodore HERSART de La VILLEMATQUE.

Les paroles d'« An Alarc'h » en breton et leur traduction en français :

Un alarc'h, un alarc'h tra mor (bis)
War lein tour moal kastell Arvor !

Diskan :
Dinn, dinn, daoñ, d'an emgann, d'an emgann, o !
Dinn, dinn, daoñ, d'an emgann ez an

Neventi vad d'ar Vretoned
Ha mallozh ruz d'ar C'hallaoued

Erru ul lestr e pleg ar mor
E ouelioù gwenn gantañ digor

Degoue'et an Aotroù Yann en-dro
Digoue'et eo da ziwall e vro

D'hon diwall diouzh ar C'hallaoued
A vac'hom war ar Vretoned

Ken e laosker ur youc'hadenn
A ra d'an aod ur grenadenn

Ken e son ar menezioù Laz
Ha froen, ha trid ar gazeg c'hlas

Ken e kan laouen ar c'hleier
Kant lev tro-war-dro, e pep kêr

Deut eo an heol, deut eo an hañv
Deut eo en-dro an Aotroù Yann

An Aotroù Yann a zo paotr mat
Ken prim e droad hag e lagad

Laezh ur Vreizhadez a sunos
Ul laezh ken yac'h evel gwin kozh

Luc'h a daol e c'hoaf p'hen horell
Ken e vrumenn an neb a sell

Pa c'hoari kreñv, ken kreñv e tarc'h
Ken e taouhanter den ha marc'h

Darc'h atav, dalc'h mat, aotroù dug
Dav warnehe ! Ai-ta ! Bug-ho ! Bug !

Neb a drouc'h 'vel a douc'hez-te
N'en deus aotrou nemet Doue !

Dalc'homp, Bretoned, dalc'homp mat !
Arsav na truez ! Gwad oc'h gwad !

Itron Varia Breizh, skoaz da vro !
Fest erbedenner, fest a vo !

Dare' ar foenn; piv a falc'ho ?
Dare' an ed; piv a vedo ?

Ar foenn, an ed, piv o fako ?
Ar roue gav' gantañ 'raio

Dont a ray a-benn ur gaouad
Gant ur falc'h arc'hant da falc'hat

Gant ur falc'h arc'hant er bro-ni
Ha gant ur falz aour da vediñ

Mar plije gant ar C'hallaoued
Daoust hag int mank ar Vretoned ?

Mar plije gant 'n Aotrou roue
Daoust hag-eñ eo den pe Zoue ?

Skrignañ 'ra bleizi Breizh-Izel
O klevet embann ar brezel

O klevet ar youc'h, e yudont
Gant c'hwezh ar C'hallaoued e reont

En heñchoù, e-berr a welour
O redek ar gwad evel dour

Ken yey ruz-glaou brusk an houidi
Hag ar wazi gwenn o neuiñ

Muioc'h a dammoù goaf, e sklent
Eget skoultroù goude barr-went

Ha muioc'h a bennoù-marv
Eget e karnelioù ar vro

Paotred Bro-C'hall 'lec'h ma kouezhint
Betek deiz ar varn e c'hourve'int

Betek deiz ar varn hag ar fust
Gant an Trubard a ren ar rustl

An diveradur eus ar gwez
'Ray dour benniget war e vez !

Un cygne, un cygne d'outre-mer,
Au sommet de la vieille tour du château d'Armor !

Refrain :
Dinn, dinn, daon ! Au combat ! Au combat ! Oh !
Dinn, dinn, daon ! Je vais au combat

Heureuse nouvelle aux Bretons !
Et malédiction rouge aux Français !

Un navire est entré dans le golfe
Ses blanches voiles déployées

Le seigneur Jean est de retour
Il vient défendre son pays

Nous défendre contre les Français
Qui empiètent sur les Bretons

Un cri de joie part
Qui fait trembler le rivage

Les montagnes du Laz résonnent
La cavale blanche (la mer) hennit et bondit d'allégresse

Les cloches chantent joyeusement
Dans toutes les villes, à cent lieues à la ronde

L'été revient, le soleil brille
Le seigneur Jean est de retour !

Le seigneur Jean est un bon compagnon
Il a le pied vif comme l'œil

Il a sucé le lait d'une Bretonne
Un lait plus sain que du vin vieux

Sa lance, quand il la balance, jette de tels éclairs
Qu'elle éblouit tous les regards

Son épée, quand il la manie, porte de tels coups
Qu'il fend en deux homme et cheval

Frappe toujours ! Tiens bon ! Seigneur duc
Frappe dessus ! Courage ! Lave-les (dans leur sang) ! Lave-les !

Quand on hache comme tu haches
On n'a de suzerain que Dieu !

Tenons bon, Bretons ! Tenons bon !
Ni merci, ni trêve ! Sang pour sang !

O Notre-Dame de Bretagne ! Viens au secours de ton pays !
Nous fonderons un service, un service commémoratif !

Le foin est mûr : qui fauchera ?
Le blé est mûr : qui moissonnera ?

Le foin, le blé, qui les emportera ?
Le roi prétend que ce sera lui

Il va venir faucher en Bretagne
Avec une faux d'argent

Il va venir faucher nos prairies avec une faux d'argent
Et moissonner nos champs avec une faucille d'or

Voudraient-ils savoir, ces Français
Si les Bretons sont des manchots ?

Voudrait-il apprendre, le seigneur roi
S'il est homme ou Dieu ?

Les loups de la Basse-Bretagne grincent des dents
En entendant le ban de guerre

En entendant les cris joyeux, ils hurlent
À l'odeur de l'ennemi, ils hurlent de joie

On verra bientôt, dans les chemins
Le sang couler comme de l'eau

Si bien que deviendra rouge comme la braise le plumage des canards
Et des oies blanches qui les passeront à la nage

On verra plus de tronçons de lances éparpillés
Qu'il n'y a de rameaux sur la terre, après l'ouragan

Et plus de têtes de morts
Qu'il n'y en a dans les ossuaires du pays

Là où les Français tomberont, ils resteront couchés
Jusqu'au jour du jugement

Jusqu'au jour où ils seront jugés et châtiés
Avec le Traitre qui commande l'attaque

L'égout des arbres sera l'eau bénite
Qui arrosera son tombeau !


A l'écoute, nous vous proposons, 6 extraits (*), soit 6 interprétations, 6 couleurs vocales et instrumentales...


Un clic sur le visuel = L'écoute d'un extrait d'une version du titre An Alarc'h
L'arrêt ou la pause de la lecture est possible en actionnant le lecteur situé sous cette présentation des pochettes et jaquettes.



(*) Comme nous le précisons sur notre page MENTIONS LEGALES : Seuls, de courts EXTRAITS musicaux accompagnent la lecture des pages.
Aucun titre n'est diffusé en entier, évitant, ainsi, tout téléchargement illégal.


A l'écoute partielle, quelques versions d'« An Alarc’h », par ordre chronologique de parution :

N°1 - Alan STIVELL - « An Alarc’h »".
Extrait de l'album microsillon 33 tours « Alan Stivell à l'Olympia » - (Fontana - 1972).

N°2 - TRI YANN - « An Alarc’h ».
Extrait de l'album microsillon 33 tours « Tri Yann an Naoned » - (Kelenn - 1972).

N° 3 - Gilles SERVAT - « An Alarc’h ».
Extrait de l’album microsillon 33 tours « La blanche hermine » - (Kelenn - 1972).

N°4 - E.V. - « An Alarc’h ».
Extrait du Compact-Disc « Huchal ».- (Créon Music - 1996).

N°5 - Dan AR BRAZ et L'Héritage des Celtes, Gilles SERVAT, Alan STIVELL, TRI YANN, ARMENS - « An Alarc’h ».
Extrait du double Compact-Disc « BretagneS à Bercy » - (Saint George - Sony Music - 1999).

N°6 - B.R.E.T.O.N.S. - « An Alarc’h ».
Extrait du Compact-Disc « B.R.E.T.O.N.S. » - (Aztec-Music - PIAS - 2023).


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Dans le même esprit que ce présent article sonorisé, visitez, classé rétrochronologiquement selon les dates de publication nos pages consacrées à :
"An hini a garon" et ses versions.
"Son ar chistr" et ses versions.
"Maro ma mestrez" et ses versions.
"Eliz Iza" et ses versions.


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© Culture et Celtie

Illustration sonore de la page : Bagad KEMPER et L'Héritage des Celtes" - Final d'"An Alarc'h", enregistré, en public, sur le double album "BretagneS à Bercy" - Extrait (00:52).


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